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Minggu, 26 Januari 2014

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écor de la chambre funéraire de KV62
À proximité se trouve la tombe de Toutânkhamon, qui est probablement la plus célèbre découverte de l'archéologie moderne, faite par Howard Carter le 4 novembre 1922. C'est la première tombe découverte pratiquement intacte (même si elle a été visitée par les pilleurs de tombe). L'opulence du matériel funéraire de ce roi relativement mineur, laisse imaginer les trésors des autres sépultures72.
Toute proche, la tombe de Horemheb, (KV57) est rarement ouverte aux visiteurs, mais est abondamment décoré et présente des caractéristiques uniques. Le décor montre une transition entre les tombes de la période amarnienne et les tombes de la XIXe dynastie


Tombe de Disraeli où pousse des primevères au manoir Hughenden
Ses exécuteurs testamentaires se prononcèrent contre des funérailles publiques car ils voulaient éviter que de trop grandes foules ne veuillent lui rendre un dernier hommage. La cérémonie funèbre fut menée par son frère Raphael et son neveu Coningsby qui hérita du manoir Hughenden. La reine endeuillée envisagea d'anoblir Raphael ou Coningsby en mémoire de Disraeli (comme il n'avait pas d'enfants, ses titres disparurent avec lui) mais elle se ravisa car leurs possessions étaient trop faibles pour une pairie. Le protocole lui interdisait d'assister aux funérailles mais elle envoya une gerbe de primevères (« ses fleurs préférées ») et se rendit sur sa tombe quatre jours plus tard ; le protocole ne changea pas jusqu'en 1965 quand Élisabeth II assista à l'enterrement de l'ancien premier ministre Winston Churchill227,228.
Disraeli fut inhumé avec son épouse dans un caveau sous l'église St Michael and All Angels se trouvant dans le domaine du manoir Hughenden. La reine Victoria fit également ériger un mémorial dans le chancel de l'église. Le caveau Disraeli renferme également le corps de Sarah Brydges Willyams, une riche veuve avec qui Disraeli maintint une longue correspondance à partir des années 1830. À sa mort en 1865, elle lui légua un large héritage qui l'aida à rembourser ses dettes229. Disraeli laissa une fortune de près de 84 000 £ (environ 9 millions de livres de 201115) au moment de sa mort230.
Disraeli possède un mémorial à l'abbaye de Westminster qui fut érigé à l'instigation de Gladstone qui le recommanda dans son eulogie devant la chambre des Communes. Son discours était très attendu du fait de son opposition bien connue au défunt. Finalement, l'allocution fut un modèle du genre et il évita de commenter les politiques de Disraeli tout en soulignant ses qualités
Blake suggère que Disraeli « a produit un poème épique incroyablement mauvais et une tragédie en vers blancs de cinq actes, peut-être encore pire. Il écrivit également sur la science politique et une biographie, la Life of Lord George Bentinck qui est excellente... remarquablement équilibrée et juste232 ». Disraeli a néanmoins plus été jugé sur ses romans233 et les critiques ont dès le départ été partagés. L'écrivain R. W. Stewart note qu'il y a toujours deux critères pour juger l'œuvre de Disraeli, un politique et l'autre artistique. Le critique littéraire Robert O'Kell est de cet avis et écrit : « Il est après tout, même si vous êtes un conservateur jusqu'au bout des ongles, impossible de considérer Disraeli comme un romancier de premier plan. Et il est tout aussi impossible, peu importe que vous regrettiez les extravagances et les inconvenances de ses livres, d'en faire un auteur insignifiant233 ».
Ses premiers romans silver fork comme Vivian Grey (1826) et The Young Duke (1831) mettaient en scène de manière romancée la vie aristocratique (dont il ne connaissait rien) avec des personnages basés sur des figures publiques bien connues234. Son roman le plus autobiographique fut Contarini Fleming (1832), une œuvre au sérieux revendiqué qui ne rencontra pas le succès235. Le critique William Kuhn suggère que l'œuvre de Disraeli peut être prise comme « les mémoires qu'il n'écrivit jamais » et révèlent la vie personnelle d'un homme politique pour qui les normes de l'époque victorienne semblaient être un carcan social236.
Sur ses autres romans du début des années 1830, Alroy est décrit par Blake comme « lucratif mais illisible237 » tandis que The Rise of Iskander (1833), The Infernal Marriage et Ixion in Heaven (1834) eurent peu d'impact238. Henrietta Temple (1837) fut le second succès de Disraeli239. Le livre s'appuie sur son aventure avec Henrietta Sykes pour relater l'histoire d'un jeune homme criblé de dettes déchiré entre un mariage intéressé mais sans amour et une passion coup de foudre pour l'héroïne éponyme239. Venetia (1837) fut une œuvre mineure écrite pour obtenir rapidement de l'argent240.
Dans les années 1840, Disraeli rédigea une trilogie sur des thèmes politiques. Avec Coningsby; or, The New Generation (1844), Disraeli, selon Blake, « insuffla dans le monde littéraire un vent de sensibilité politique épousant la croyance que le futur de l'Angleterre comme puissance mondiale dépendait non pas de la vielle garde suffisante mais des jeunes politiciens idéalistes234 » Coningsby fut suivi par Sybil; or, The Two Nations (1845), un autre roman politique mais moins idéaliste et plus clairvoyant que le précédent ; le two nations du sous-titre fait référence à l'écart économique et social séparant quelques privilégiés et les classes ouvrières défavorisées. Le dernier ouvrage de la trilogie politique fut Tancred; or, The New Crusade (1847), qui défendait le rôle de l'Église d'Angleterre dans le renouveau spirituel britannique234.
Les derniers romans de Disraeli furent Lothair (1870) et Endymion (1880). Le premier fut décrit par Daniel R. Schwarz comme son Voyage du pèlerin241 dans lequel il analyse les rôles des églises anglicane et catholique en politique. Même si le héros d'Endymion est un whig, Disraeli y expose pour la dernière fois ses croyances politiques et économiques242. Jusqu'au bout, il attaqua ses adversaires dans des caricatures à peine déguisées : le personnage de St Barbe dans Endymion est largement considéré comme une moquerie de l'écrivain William Makepeace Thackeray qui avait offensé Disraeli plus de trente ans plus tôt en le ridiculisant dans le magazine Punch243,244,245. Disraeli laissa un roman inachevé dont le personnage central, Falconet, est indiscutablement une caricature de Gladstone
Dans les années qui suivirent la
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rit dans le livre est très proche de celui de Baum, même si Heinlein tente d'expliquer certaines choses du

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March Laumer a été l'un des premiers auteurs à continuer la série d'Oz. Ses livres ont été écrits avec l'autorisation de Contemporary Books, qui possédait Reilly & Lee, l'éditeur original. Son œuvre comprend tout ce a été créé sur le pays d'Oz, y compris l'Oz russe de Volkov, le film de la MGM, la suite de celui-ci réalisée par Disney et beaucoup de livres de Baum lui-même que la plupart des fans ne considèrent pas comme canoniques.
Laumer a également fait plusieurs changements controversés d'Oz. Il marie plusieurs des personnages principaux, souvent de façon improbable. Par exemple, la sorcière intelligente et adulte Glinda est mariée à Bouton Brillant, qui est un petit enfant obtud dans tous les livres de Baum. Laumer vieillit aussi Dorothy, qui est alors une adolescente, afin qu'elle puisse être courtisée par plusieurs personnages. Ozma devient une lesbienne, à cause de son éducation de garçon, et le Shaggy Man est un éphébophile, après ses voyages fréquents avec des jeunes filles.
Les livres de Laumer ne présentent pas une version cohérente d'Oz. Comme la plupart de ses livres sont des collaborations, il a souvent inclus des éléments de la vision d'Oz par d'autres auteurs, parfois incompatibles avec la sienne. Par exemple, alors qu'il a explicitement donné seize ans à Dorothy dans A Fairy Queen in Oz, il lui donne huit ans dans Tante Em et oncle Henry à Oz. Alors qu'il dépeint l'Oz de Volkov comme un univers parallèle, dans Adieu à Oz, il montre également, dans plusieurs de ses autres livres, comme Tante Em et oncle Henry à Oz, des personnages de Volkov vivant dans l'Oz de Baum. En dépit de ces divergences, beaucoup de ses livres sont compatibles les uns avec les autres, et les personnages introduits dans certains apparaissent souvent dans d'autres27.
La vision de Philip José Farmer[modifier | modifier le code]
Philip José Farmer représente une Oz très différente, dans son livre A Barnstormer in Oz. La prémisse est que rien ne s'est produit après le premier livre. Dorothy n'est jamais retournée à Oz, et a grandi, s'est mariée et a eu un fils. Celui-ci, Hank Stover, est le personnage principal, un pilote ancien combattant de la Première Guerre mondiale et le Barnstormer du titre. Alors qu'il vole dans son Curtiss JN-4 biplan, il pénètre dans une brume verte et débouche dans le pays d'Oz, dévasté par la guerre civile.
Farmer donne du pays d'Oz la vision qu'en a un auteur de science-fiction et tente d'expliquer scientifiquement beaucoup d'éléments « magiques » de l'histoire de Baum.
Heinlein et Oz[modifier | modifier le code]
Le livre de Robert A. Heinlein, Le Nombre de la bête passe à travers de nombreux mondes de fiction célèbres, y compris ceux de Alice au pays des merveilles, des Voyages de Gulliver et Ringworld, ainsi que certaines des propres œuvres de Heinlein, et, bien sûr, le pays d'Oz.
Le pays d'Oz décrit dans le livre est très proche de celui de Baum, même si Heinlein tente d'expliquer certaines choses du point de vue d'un auteur de science-fiction. Il explique qu'Oz se trouve sur une planète rétrograde, où le sens de rotation par rapport aux pôles est inversé par rapport à celui de la Terre, ce qui fait que le soleil semble se lever dans ce qui serait normalement l'ouest.
Heinlein explique également que la population reste stable à Oz, malgré l'absence de la mort, parce qu'il est impossible, pour des enfants, de naître dans Oz. Lorsque la population augmente à cause de l'immigration, Glinda étend seulement les frontières d'un pouce ou deux dans chaque direction, ce qui donne plus que suffisamment d'espace pour toutes les personnes supplémentaires.
Tombe royale WV23 du pharaon Aÿ
Dans la vallée de l'ouest, une ébauche de tombe a été commencée, peut-être pour Akhénaton, mais n'a pas dépassé la porte et une volée de marches.
À proximité, se trouve la tombe de Aÿ, le successeur deToutânkhamon. Il est probable que cette tombe a été commencée pour Toutânkhamon (le décor est d'un style identique) mais a été usurpée par Aÿ. La tombe KV62 utilisée finalement pour Toutânkhamon est peut-être la tombe originale de Aÿ, ce qui expliquerait sa petite taille et son agencement inhabituel pour une tombe royale70.
Les autres tombes de la période amarnienne sont situées dans une étroite zone au centre de la vallée, comprenant une cachette KV55 contenant les momies royales de Tiyi, Smenkhkarê ou Akhénaton71.
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'elles révèlent des secrets ou l'avenir et dirigées par une horloge) et la sorcellerie.

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Oz est fondamentalement un pays pacifique et l'idée de subversion est largement inconnu à son peuple. La plupart des emplois militaires sont purement formels. Cela crée de nombreux problèmes, comme dans Le merveilleux pays d'Oz, où la cité d'Émeraude, qui est gardé seulement par un portier âgé et un soldat, qui, à cette époque, constitue toute l'armée d'Oz, est facilement conquise par l'Armée de la révolte, conduite par le général Jinjur. Cette armée est, à son tour, submergée par une autre armée de jeunes filles, dirigée par Glinda.
La sécurité d'Oz est surtout assurée par la magie, comme le sort de Glinda qui rende Oz complètement invisible. Oz a également une barrière naturelle, sous la forme d'un désert qui entoure le pays : toute personne qui touche le désert se transforme en sable. Le roi Nome essaie de conquérir Oz à plusieurs reprises. Une armée nominale existait autrefois, mais elle avait un ratio officiers supérieurs/soldats très élevé. Exceptés son commandant, le Bûcheron de fer-blanc, l'armée, telle qu'elle est présentée dans Ozma of Oz, est entièrement constituée d'officiers poltrons. À la fin du livre, il est dit qu'il y a trois soldats, au total, et qu'on ne sait pas combien d'officiers ont été laissés sur place pendant le voyage d'Ozma à Ev. Le soldat qui apparaît dans le livre, nommé Omby Amby, est ultérieurement promu au grade de capitaine général. Dans le film Return to Oz, l'homme mécanique Tik-Tok est, à lui seul, l'armée royale d'Oz.
Les tentatives faites par des étrangers pour conquérir le pays d'Oz sont fréquentes, particulièrement dans les livres d'Oz de Ruth Plumly Thompson. Mais ces tentatives sont toujours contrées avec succès à la fin, généralement par Ozma ou par des forces qui lui sont favorables.
Le pays d'Oz dépeint dans le film de la Metro-Goldwin-Mayer (MGM) de 1939, réalisé par Victor Fleming, est très différent de celui décrit dans les livres. La différence la plus importante est que, dans le film, le pays d'Oz semble un rêve de Dorothy (en faisant ainsi un monde imaginaire), même si, à la fin, Dorothy affirme aux adultes qu'elle y est bien allée. Le message évident est que l'on doit apprécier sa vie quotidienne, même si elle est ennuyeuse. Ceci est en net contraste avec les livres, dans lequel Dorothy et sa famille sont finalement invités à s'installer à Oz, une banque ayant saisi leur ferme. Ceci montre, à la fois, qu'Oz est un lieu bien réel et que c'est une utopie par rapport au Kansas.
Il y a beaucoup d'autres petites différences entre les livres et le film. Par exemple, la première sorcière que Dorothy rencontre à Oz, dans le livre, est la Bonne Sorcière du ord, un personnage secondaire qui n'apparaît qu'une seule autre fois dans les livres de Baum. Dans le film, ce personnage est confondu avec Glinda, qui est la Bonne Sorcière du sud, dans le livre.
Également, la Dorothy des livres est courageuse et débrouillarde, ne pleurant que lorsqu'elle est désespérée, tandis que la Dorothy du film, plus âgée (l'enfant de douze ans du livre est interprétée par Judy Garland, alors âgée de seize ans) passe plusieurs scènes du film à pleurer et à obéir à ce que d'autres lui disent de faire. Sa pusillanimité est pourtant éclipsée par celle du Lion. Ceci correspond plus à l'image de Dorothy que donne Thompson, Baum étant connu pour ses personnages féminins forts25.
La Méchante Sorcière de l'ouest change également de façon significative entre le livre et le film. Dans les livres, aucune mention n'est jamais fait de sa couleur de peau, tandis que dans le film, elle est verte, sans explication, bien que les Winkies, qu'elle a asservis, soient également verts. Dans le livre, elle est décrite comme ayant un seul œil, qui peut voir des objets lointains, à la façon d'un télescope, mais, dans le film, elle utilise une boule de cristal pour observer Dorothy de loin. Le film MGM de 1939 fait la première référence au fait que les Sorcières de l'est et l'ouest sont sœurs, ce qui n'est pas le cas dans le livre.
Dans le film, le Magicien d'Oz ne recourt pas autant à la ruse que dans le livre. Dans le livre, il rencontre chaque membre du groupe de Dorothy un jour différent et prend une forme différente pour chacun d'eux. Dans le film, il ne prend qu'un seul aspect, celui d'une tête de géant.
La nature de la Cité d'Émeraude est modifiée dans le film. Dans le livre, la ville n'est pas vraiment verte, mais tout le monde est forcé de porter des lunettes vertes (soi-disant pour protéger leurs yeux de la splendeur éblouissante de la ville), faisant ainsi tout apparaître vert. Dans le film, la ville est réellement verte. L'architecture de la Cité d'Emeraude, dans le film, est style Art Déco, beaucoup plus moderne que ce que Baum aurait pu imaginer.
Le film remplace les chaussures d'argent du livre par des souliers rubis. C'est parce que les films en couleur étaient encore une technique relativement nouvelle en 1939, et la MGM voulait montrer le procédé. Des chaussures rouge brillantes étaient beaucoup plus impressionnantes dans un film en couleur que celles en argent26. En raison de la popularité du film, la sorcière verte et les souliers rubis sont plus connus du grand public que leurs homologues du livre.
Dans ses romans révisionnistes sur Oz, Wicked: The Life and Times of the Wicked Witch of the West, Fils de sorcière et Un lion parmi les hommes, Gregory Maguire présente une version très différente du pays d'Oz. L'Oz de Maguire n'est pas de l'utopie de Baum, mais un pays agité par des troubles politiques et des difficultés économiques. Une question politique posée par les romans de Maguire est celle de l'oppression des animaux (Maguire distingue les Animaux parlant des animaux non-parlants par l'utilisation d'une majuscule initiale). Il existe de nombreuses traditions religieuses dans l'Oz de Maguire, notamment le lurlinisme (qui considère la fée Lurline comme la créatrice d'Oz), l'unionisme, qui adore le Dieu sans nom, et les religions du plaisir qui ont submergé Oz pendant que les sorcières étaient à Shiz. Un exemple des croyances du plaisir sont le tic-tac (où des créatures sont enchantées afin qu'elles révèlent des secrets ou l'avenir et dirigées par une horloge) et la sorcellerie.
La présentation de la géographie d'Oz par Maguire est aussi teintée de politique. Une grande prison politique, Southstairs, existe dans les cavernes en dessous de la Cité d'Émeraude. Le pays Gillikin, qui abrite l'Université de Shiz, est plus développé industriellement que les autres parties d'Oz. Le pays Munchkin est le grenier à blé d'Oz et, à un moment donné, déclare son indépendance de la tutelle de la Cité d'Émeraude. Le pays Quadling est en grande partie occupé par des marais, habité par les Quadlings, peuple artiste et sexuellement libre. Le Vinkus (nom utilisé par Maguire pour le pays Winkie) est principalement couvert par des prairies ouvertes, peuplées par des tribus semi-nomades à la peau brune.
La comédie musicale Wicked, basée sur le premier roman d'Oz de Maguire, dépeint un Oz un peu plus proche de la version vu dues romans de Baum et du film de 1939. L'oppression des animaux est toujours un thème majeur, mais les divisions religieuses et géographiques décrites dans le roman de Maguire sont à peine présentes.
Dans le livre et la comédie musicale, plusieurs personnages de l'histoire traditionnelle d'Oz sont présents avec des noms différents. Glinda est, à l'origine, appelée Galinda, mais change son nom. La Méchante Sorcière de l'ouest est appelée Elphaba, la Méchante Sorcière de l'est porte le nom de Nessarose. Dans la comédie musicale, mais pas dans le livre, Boq devient le Tin Man, et Fiyero l'Épouvantail.
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